Je vous remercie énormément de votre attention. La présence d’Amyr dans notre programmation a été brillante. Personnellement, cela a été un cadeau pour moi l’avoir connu personnellement, écouter son discours et emporter comme souvenir un livre signé par lui. Merci beaucoup, beaucoup.

Cela a été très bien. Nous avons reçu beaucoup de commentaires positifs sur la conférence et elle s’est bien accordée avec le thème général.

L’éclat de votre présence à notre côté et l’engagement avec une éducation meilleure, ont influencé, sans aucun doute, tous ceux qui se sont engagés d’une manière ou d’une autre à l’événement.

Nous avons reçu beaucoup de compliments par rapport au thème abordé et, sûrement, cela contribuera au jour le jour du travail et de la vie des personnes qui y ont participé. Merci à tous les engagés de l’équipe d’Amyr Klink.

Oui, sûrement notre but a été atteint. Nous vous remercions de l’attention et tendresse dont vous nous avez toujours fait preuve. Certainement nous ferons beaucoup d’événements ensemble.

Je remercie tout votre soutien dans la logistique de la conférence « Au-delà des limites » animée par M. Amyr Klink hier soir au São Paulo Center. Nous avons reçu aujourd’hui une série d’e-mails félicitant la conférence.

Votre participation a ajouté du succès à ce congrès et nous espérons pouvoir compter sur votre participation dans d’autres opportunités.

Au nom de la Coordination de Parents, je voudrais remercier votre soutien et celui d’Amyr. La conférence a été très bien reçue par notre communauté, spécialement par nos élèves qui ont posé beaucoup de questions et qui ne le quittaient pas à la fin ! Ainsi, nous sentons avoir atteindre notre objectif majeur.

Amyr votre présentation a été merveilleuse. J’espère que votre séjour ici a été agréable. Voici le texte que j’ai utilisé dans votre présentation.

CONNAISSANCE CONTINUE : Le navigateur qui n’est plus solitaire, AMYR KLINK, a été splendide l’autre jour quand il a dit : « Quand quelqu’un crie après vous, considérez la possibilité que cette personne vous demande de l’aide ». C’est incroyable comment quelqu’un qui a passé une grande partie de la vie tout seul, dans un voilier, puisse décrire de façon si simple, un mal qui touche deux grandes institutions : la famille et le travail. Il semble que proportionnellement nous nouons des relations et oublions les droits de l’autre. Prioritairement le droit d’entendre et de se taire. Avides de résoudre tout hier, il semble que le maintenant est devenu impraticable, impossible, insupportable. On ne connaît pas le respect, l’individualité et la propriété. Soudain tous sont devenus les propriétaires de tout. Dans quelques cas, l’individualité est tellement urgente que le JE devient moins important que le MOI-MÊME. Donc, au nom de la compétence et agilité déguisée d’impropriété, glissent des culpabilités jamais reconnues, préannonces de dépression (évidemment que la VOTRE sera toujours plus grande que celle de l’autre). Abondent des excuses qui ne convainquent pas à quitter l’ostracisme, ajournant le moment où il est possible de voir nos défauts et de donner le premier pas pour devenir plus raisonnables. Peut-être c’est pour cela qu’AMYR même a prévenu : « Petits gaspillages et inefficacité peuvent engendrer des dégâts irréversibles, car nous permettons qu’ils deviennent invisibles, or le plus grand constructeur de réalisations s’appelle CONNAISSANCE continue.

Nous ne pourrons jamais remercier d’une telle générosité. Vous ne figurez pas comment cela a été magique et important pour les enfants et tous les présents, les moments que vous nous avez accordés. Tous sont encouragés à rechercher et à connaître davantage. Cette conférence, à part encourager chez les élèves l’intérêt pour la connaissance du nouveau, leur a fait aussi découvrir qu’ils ne sont pas oubliés et que tous ont l’occasion de vaincre. Ce ne sont pas seulement les valeurs pour les travaux futurs qui ont été ajoutés, mais surtout des valeurs de vie ! Merci beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup à tous !!!! Que Dieu vous bénisse pour toujours ! Amitiés.